
CHÔMAGE
Le fléau du chômage chez les seniors
Le phénomène prend une ampleur inquiétante, presque tragique, surtout depuis la pandémie: les travailleuses et travailleurs de plus de 55 ans qui doivent retrouver un travail sont plus que jamais ignorés par les employeurs. Analyse du premier secrétaire de l’Union syndicale suisse (USS), Daniel Lampart, et trois témoignages de seniors concernés.
Les chiffres et les courbes du chômage sont éloquents et inédits: la part des chômeurs entre 55 et 64 ans augmente inexorablement, surtout depuis la crise covid. Si la situation est revenue à la normale pour les plus jeunes, les chômeurs seniors, femmes et hommes confondus, sont, eux, de plus en plus souvent condamnés à bricoler leur fin de carrière et à sauver le maximum possible pour leur retraite. Au fond, c’est comme si la société voulait précariser, voire mettre à la poubelle une génération entière de sa population.
> Mon observation et réflexions vécues de l'intérieur sur une réalité mise en avant par L'ILLUSTRE
Notre pays n’assume pas ses cinquantenaires expérimentés aux multiples compétences et expériences reconnues et de facto fragilise ainsi le développement économique futur de notre pays. C’est un fait ! #+50ans #+50ansemploi #lillustre
C’est un mal qui gangrène les différentes couches sociales de notre société et tout le monde va en souffrir et subir les conséquences tôt ou tard. Cette conscience n’est pas idéologique, elle est malheureusement réaliste et en route. Le Covid, la guerre en Ukraine et bien d’autres ne sont que des accélérateurs de cette situation d’appauvrissement matériel et surtout intellectuel en lien avec la transmission et l’accompagnement.
La confédération, les cantons et partenaires sociaux se trompent d’objectif. Le monde de l’emploi change, se transforme rapidement, évolue, tout comme ses codes, ses contraintes et ses besoins, qu’on le veuille ou non ; Son marché se voile la face en ne voulant que l’excellence, la crème, le haut du panier, pensant que c’est l’unique solution et qu’il va la trouver uniquement dans ce diktats des diplômes, dans le jeunisme des employés, croyances rassurantes pour les recruteurs, et ô combien irrationnelle, discriminatoire et sans avenir. Cette attitude est une vision à court terme, un modèle vide de sens et pauvre en projection et au détriment des personnes ayant 30 ans d’expériences professionnelles, acquis obtenu suite à des actions et à son travail. L’expérience vécue est plus riche d’enseignements, d’apprentissage que toutes les théories vite apprises et vite oubliées, car sans expérimentation il n’y pas de progrès. Le système qui consiste à faire correspondre le bon diplôme, la bonne expérience avec le poste est impossible à tenir sur le long terme. #welcometothejungle #laetitiavitaud #confédération #canton #vaud #partenairessociaux #emploi #diplômes #expérience #expériencesprofessionnelles #apprentissage #+50 #seniors
En contractant la notion de connaissance à un seul point de vue, c’est regarder le soleil de face à en être éblouis, sans considérer la présence de la lune malgré son utilité au bon fonctionnement de l’équilibre des énergies. Pour tout rappel, la lune brille aussi ! Cette manière d’abrutir la connaissance à l’unilatéral, c’est vite oublier d’où on vient et ce que l’on a réalisé et comment, en faisant une totale abstraction du concept de gnoséologie (étude philosophique mettant en avant les principes des sources de la connaissance). #gnoséologie
Quand on lit que les participants à la dernière conférence nationale sur le thème des travailleurs âgés, réunissant la Confédération, cantons et partenaires sociaux, l’Union syndicale suisse (USS), de Travail.Suisse et de l’Union patronale suisse (UPS) et qui a eu lieu pour la 6ème et dernière fois le 15.11.2021, n’arrivent pas à se mettre d’accord, comment voulez-vous faire avancer le débat sur cette discrimination à l’embauche qui pourtant a une base juridique. Les demandeurs(euses) d’emploi sont protégés(es) contre les discriminations à l’embauche par l’art. 28 CC interdisant toutes atteintes illicites à la personnalité et par l’art. 2 CC obligeant chacun à se comporter selon les règles de la bonne foi. https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-85872.html #conférences
#uss #unionsyndicalesuisse #travailsuisse #ups #unionpatronalesuisse #discrimination #embauche #admin #gov #conférences
Une des raisons réside dans l’absence dans la loi d’interdictions explicites de la discrimination fondée sur l’âge dans les procédures d’embauches, contrairement à l’interdiction de discrimination fondée sur le sexe garantie par l’art. 3 LEg. https://www.humanrights.ch/fr/pfi/droits-humains/discrimination/dossier-non-discrimination/discrimination-dans-le-monde-du-travail/discrimination-a-lembauche/discrimination-fondee-age-durant-procedure-recrutement #humanrights #recrutement
Il est temps de donner la possibilité aux employeurs d’engager l’expérience et les compétences acquises durant une carrière (en cours) sans que la prévoyance professionnelle (LPP) vienne, notamment plomber leur budget. #lpp
COMMENT > (1)
Compte tenu que les charges de la prévoyance professionnelle (LPP) sont déterminées par l’âge et le sexe, 18% pour un employé de +55ans, il est vivement nécessaire que la confédération par les cantons compense la différence. (de 25 à 34 > 7% - de 35 à 44 > 10% - de 45 à 54 > 15% - de 55 à 65 > 18%). L'employeur ou l'employeuse doit payer une part au moins égale à celle de la personne salariée; les caisses fixent le montant des cotisations de l'employeur et de celle des salariés (art. 66 LPP).
On veut quoi au final, qu’un pan de la société qui a cotisé toute sa vie et qui est dans l’infortune du chômage pour des raisons diverses et le plus souvent irrationnelles, doivent se retrouver au service social, car le clan des politiques à différents niveaux décisionnels n’arrivent pas à s’entendre sur certaines révisions ! Mercredi 15 juin 2022, LE CONSEIL DES ETATS TEMPORISE SUR LA LPP, (ats) La réforme du 2e pilier échauffe les esprits au Conseil des Etats. A tel point que la Chambre a décidé mercredi de renvoyer tout le projet en commission pour des analyses complémentaires. La droite était divisée sur la voie à suivre. #chômage #servicesocial #ri #conseildesétats @2èmepilier
Bref rappel du pourquoi le taux est de 18% pour les + de 55 ans et des raisons de cette graduation de taux. Cette forte progression des pourcentages et la fixation de taux élevés pour les salariés âgés se justifiaient initialement, car les salariés entraient dans le régime LPP à des âges différents et sans avoir cotisé avant l'entrée en vigueur de la LPP en 1985. Ce système permettait néanmoins d'obtenir une rente satisfaisante à l'âge de leur retraite.
Ce n’est pas aux employeurs de devoir supporter cette discrimination de traitement qui est d’un autre temps et pour des raisons devenues révolues. Pour en avoir discuté avec nombreux patrons, entrepreneurs et RH, ces 18% sont un frein à l’embauche qui poussent certains à engager des frontaliers bien moins onéreux qui ne connaissent pas notre tissus économiques et nos procédés, sans parler d’autres préjugés sur l’inadaptabilité, la résistance, la santé et le décalage numérique. #rh #entrepreneurs #employeurs #patrons #adaptabilité
Historique > La prévoyance professionnelle ou 2ème pilier est un système d'épargne et de couverture de risques constitué par les versements des travailleurs et des employeurs, destiné à compléter le 1er pilier, l'AVS et l'AI. La Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle, vieillesse, survivants et invalidité (LPP) entrée en vigueur le 1er janvier 1985, rend obligatoire la prévoyance professionnelle pour tous les travailleurs et pose des principes de base qui peuvent être améliorés par les caisses de retraite. #prévoyanceprofessionnelle #avs #ai #retraite
COMMENT > (2)
Il y a aussi les mesures mise en place par le bien nommé Service de l’emploi qui s’évertue à faire passer les demandeurs d’emploi pour des incapables qu’ils faut contrôler, corriger et sanctionner. #servicedelemploi #orp
D’être au chômage à 50 ans est une faute selon les non-dits que l’on perçoit si on tend l’oreille.
Mettre en place, proposer des mesures sont une chose et cela est une chance d’avoir ces opportunités proposées par le Service de l’emploi, maintenant, il est nécessaire qu’ils se posent les bonnes questions quant à la manière et le contenu de celles-ci et de ne pas se tromper d’objectif en sachant ce que l’on veut vraiment pour les demandeurs de +50 ans. On est plus à l’époque de la reconstruction, de l’industrialisation, à l’époque où l’on restait soit dans la même entreprise ou en tout cas dans la même profession et ceci, on devrait l’avoir intégré depuis longtemps à différents niveaux de la gouvernance de notre pays, et pourtant ! #mesures
Les +50 ans l’on bien comprit, il faut s’adapter, se réinventer, prendre du recul, de rebondir, se remettre en question, accepter, d’être créatif, résilient, activer certaines ressource, utiliser ces échecs comme apprentissages et des tremplins, utiliser son réseau, suivre des formations et j’en passe. Il est nécessaire de savoir-faire plusieurs métiers, avoir vécu des expériences différentes et faire preuve d’un pouvoir d’adaptabilité important.
Cependant le secrétariat à l’économie à Bern qui surveille chaque office de placement, le bien nommé SECO, me laisse perplexe quant à sa vision des choses, sa considération ou devrais-je plutôt dire son manque de considération envers les demandeurs d’emploi et notamment les cinquantenaires. Il est facile de faire un parallèle entre la politique de sanction, comme le résume un reportage "Coupable d'être au chômage", Temps Présent du 07 avril 2022 et l’inaptitude du service de l’emploi à vouloir comprendre que l’on n’est pas au chômage par choix et que pour une grande partie de demandeur d’emploi de 45 ans et plus, il sera nécessaire de se reconvertir pour des raisons économiques et modifications et évolution des secteurs et domaines d’activités et non pas par confort comme certains le pense. #seco #tempsprésent
Il faut revoir la politique sociale, ses enjeux au niveau fédéral en se basant sur la réalité d’aujourd’hui, et non pas glisser sous le tapis certaines réformes nécessaires et d’utilités publiques. Il suffit d’écouter Monsieur Boris Zürcher (Chef direction travail au SECO) pour se faire une idée du positionnement de l’état sur le chômage et ses limites. Selon lui : - Il faut exercer une certaine pression sur le demandeur d’emploi pour qu’ils prennent au sérieux leurs devoirs compte tenu que le système est suffisamment généreux avec eux. Avril 2022 www.youtube.com/watch?v=UOsP44A9YAI-
Ou durant une interview en avril 2017, « Pas de crise particulière pour les seniors, selon le SECO », selon Monsieur Boris Zürcher https://www.rts.ch/info/suisse/8550287-enrayer-le-chomage-des-seniors-le-boulot-le-plus-dur.html #rts #15rts
Jusqu’à maintenant et aujourd’hui encore, le chômage est un système de contrôle et de sanctions. Le mandat du chômage n’a pas pour objectif de vous permettre de vous réorienter afin de vous réinsérer dans un domaine différent à moins d’être en incapacité, à l’AI. Pourtant, aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain, il est courant que l’on doive se détourner de nos premiers choix professionnels, et ce, pour différentes raisons économiques (industrialisation, digitalisation, globalisation, codes générationnels, etc…) et non pas par instabilité ou/et par incapacité comme souvent entendu. Ceci est en cours depuis bien plus d’une décennie (15 ans), et au sein du Service de l’emploi, rien n’est entrepris de constructif pour que les personnes qui n’ont pas d’autres choix que de se réorienter et acquérir de nouvelles compétences pour correspondre au marché, quand celui pour lequel vous étiez fait vous rejette. Les mots insérer, réinsérer n’ont parfois aucune valeur sans la réorientation #insertion #réinsertion #réorientation
Cela doit venir d’un taux de chômage suffisamment bas depuis de nombreuses années, envié par les pays nous entourant. Cela vient donc décrédibiliser les difficultés que rencontres les +50 ans qui eux, ont un taux de chômage bien plus élevé. Les articles de presse, les reportages sont évocateurs de la situation, tout le monde est scandalisé, aurifié même par cet état des lieux le temps de la lecture et finalement, personnes ne s’en émeut plus que tant, car trop occupé à protéger son confort.
On le sait, le marché de l’emploi s’est transformé, s’est modifié où le diplôme à tout prix est légion, au détriment de l’expérience qui à elle seule devrait avoir la légitimité d’un diplôme ! Aujourd’hui, tout le monde est d’accord de l’importance de la formation (continue), qui est nécessaire pour se perfectionner, se remettre à niveau et surtout se réorienter par obligation du marché. Malheureusement, le Service de l’emploi et les instances supérieures ne l’a pas compris. En conclusion par constat, si l’on se retrouve au chômage, c’est par faute ou par manquement.
On ne comprend une situation, un sentiment, une émotion, une souffrance que quand on l’a vécu soi-même. Toutes les métaphores et analogies sont bien belles, mais au final, il faut des actes par un juste timing et initiés par les bonnes personnes, celles-là mêmes qui ont vécu diverses expériences et non cette catégorie bien-pensante qui parcourt leurs semaines sans rien avoir vécu en termes de difficultés professionnelles, d’entrepreneuriat, de discrimination, de licenciements, d’obligation de réinsertion, d’un parcours parfois atypique malgré eux et leur objectif premier.
Aujourd’hui, il est nécessaire de donner des outils aux personnes qui doivent se réorienter et ce, durant leur temps au chômage. A ce jour il y a des cours, stages de formation, allocations de formation, entreprise de pratique commerciale, allocations d’initiation au travail (AIT), programme d’emploi temporaire (PET), Stages professionnels, soutien à une activité d’indépendant (SAI). #ait #pet #sai #stages #cours
A aucun moment, l’on permet aux demandeurs d’emploi de +50 ans de se réorienter. A aucun moment, l’on vous donne l’occasion de faire une formation certifiante, même la mesure AIT, qui en soi est une bonne mesure, ne vous permet d’avoir un diplôme que vous pourrez faire valoir durant votre futur professionnel (la formation se faisant en emploi et organisée par le seul employeur et qui trouve son intérêt dans la prise en charge par le canton d’une partie de votre salaire) ou le stage, le programme d’emploi temporaire (PET), qui au final ne vous permet à aucun moment de suivre une réelle formation comme par exemple un diplôme FSEA et ainsi de vous permettre de vous réinsérer dans l’économie avec une valeur ajoutée. Il y a la toute dernière mesure réservée à des personnes de +50 ans et sélectionnées sur des critères inconnus, mesure pilote de 2021 à 2024 du nom de « supported employment » (conférence nationale sur le thème des travailleurs âgés). Elle intervient, soit quand vous êtes déjà au service social (RI) ou quelques indemnités avant d’y être, mais surtout pas durant l’étendue de votre période de chômage, allez comprendre pourquoi !? #fsea #supportemployment
Je résume > Selon la confédération et les cantons et les partenaires sociaux : Toutes les personnes qui ont plus de 50 ans et se trouvant au chômage ont de la peine à intégrer le marché du travail !
Toutes les personnes se trouvant dans cette situation ont nécessairement besoins, une nouvelle fois, d’un coach, qui va leur expliquer quoi faire et comment le faire, etc…., car, si jusqu’à aujourd’hui elles n’ont pas réussis à se faire engager, c’est sans doute qu’elle doivent encore être accompagnée, questionnées et dirigées. A aucun moment on ne remet en doute ce modèle du Service de l’emploi basé sur des croyances, sur les sanctions, l’assistanat contrôlé et le jugement.
Si le poste requiert que le nouvel employé possède des qualifications complémentaires, le job coach peut facilement et rapidement décider de financer des formations ou des cours appropriés. Tous les cours que notre conseiller ORP nous a proposés ont sans doute été suivis. Cela veut dire que le Job coach a la liberté d’agir en dehors du catalogue de cours proposé par le service de l’emploi.
Mon questionnement
- Pour qu’elle raison durant un chômage long (+ 50ans), on ne permettrait pas au demandeur d’emploi de suivre une formation correspondant à son profil et aux résultats obtenus lors des séances de coaching et non devoir attendre d’être presque au social pour pouvoir, éventuellement en profiter ? Car au final, on peut aisément imaginer un besoin de reconversion et qu’il serait bien d’anticiper
- Pourquoi cette mesure arrive à la fin des indemnités ou proche de la fin et non pas plus tôt ?
- Pourquoi, dans mon cas par exemple, je ne peux pas faire de formation permettant de me réorienter avant d’être au social et que cette formation dont j’ai besoin pour me faire engager (FSEA) se fasse uniquement en emploi et grâce éventuellement, à cette mesure «supported employment»
- Pensez-vous vraiment que le fait d’être au social permet de lever les préjugés d’un employeur, du pourquoi et comment vous vous en êtes trouvé là et est-ce que cela facilite l’échange au sujet de l’expérience et de nos compétences ? J’en doute !
- Mettre en contact les bonnes personnes, c’est très bien, maintenant pourquoi ne pas le faire durant la période de chômage. La plupart du temps, le demandeur d’emploi ne reçoivent ni réponse et non pas d’entretien
Un grand nombre de bien-pensants, viennent vous faire part de leurs conseils, vous devriez faire ceci, faire cela, pourquoi vous n’avez pas fait ceci ou cela, comment en êtes-vous arrivé là, un brin moralisateur et pensant avoir la légitimité pour juger votre parcours, votre situation et vos compétences.
Le plus enrichissant c’est de bénéficier de coach, de mentors qui sont là à votre écoute, pour vous poser les bonnes questions, ainsi vous permettre de prendre conscience de cette réalité qui est la vôtre, de vos compétences et votre potentiel. Vous faites un chemin enrichissant, qui met en lumière des évidences pour votre futur professionnel et en considérant vos difficultés d’engagement dans votre profession actuelle. #coach #mentor
Et le plus choquant au final, après y avoir passé des heures, durant lesquelles vous vous êtes entièrement livré, car vous l’avez bien compris, c’est pour vous, et c’est vous qui êtes le moteur, c’est la frustration ! Aucunes solutions pour mettre en action tout ce travail, cette prise de conscience, cet état des lieux d’où vous devez aller et de quelle manière. Le système actuel ne vous propose rien à mettre en place pour ce futur, aucune formation, aucune aide en rapport à ces possibilités. A se demander à quoi cela sert, juste à financer des programmes qui se terminent avant d’avoir commencés.
C’est comme si l’on vous annonce que vous allez faire du ski…. On vous montre sur la carte les pistes de ski, l’hôtel où vous allez être logé, la tenue de ski que vous allez porter et le matériel qui sera utilisé et vous êtes prêt à partir !
Et là, on vous interdit de prendre le bus pour y aller !
C’est créer un sentiment de frustration totalement contre-productif. Pour au final anéantir tout ce travail en ne transformant rien en réalité !
6ème conférence nationale sur le thème des travailleurs âgés
Discrimination fondée sur l'âge durant la procédure de recrutement
TEMPS PRESENT
Les dures sanctions de l'assurance chômage en Suisse
La 4ème révision de la loi sur l'assurance chômage. Augmentation des sanctions selon une réforme de mars 2011
SECO M.Boris Zürcher (Chef direction travail au SECO) Il faut exercer une certaine pression sur le demandeur d’emploi pour qu’ils prennent au sérieux leurs devoirs compte tenu que le système est suffisamment généreux avec eux (Avril 2022)
Pour le SECO, Pas de crise particulière pour les seniors, Selon M. Boris Zürcher #15rts

«Supported employment»
Pour les 50 ans et plus
«Allocation d'initiation au travail
AIT
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